Le marché de l’assistanat virtuel connaît une forte expansion en France et à l’international qui s’explique par plusieurs facteurs : les besoins d’externalisation, la démocratisation du télétravail et des modes de collaboration à distance ainsi que l’évolution des technologies.
Sur le territoire national, un assistant virtuel exerce sous le statut juridique de micro-entreprise, d’entreprise individuelle (EI), de société à responsabilité limitée (EURL, SARL ou SAS) ou en portage salarial et offre, dans ce cadre, des services administratifs, commerciaux, marketing ou techniques à distance, en utilisant Internet et les outils du numérique.
Il aide non seulement les TPE et PME mais aussi les associations et les professionnels libérales à gérer leurs tâches quotidiennes de manière flexible et efficace, sans les coûts liés à l’embauche d’un employé à temps plein. Le métier est majoritairement exercé par des femmes, ce qui explique pourquoi on entend plus souvent parler d’asssitantes virtuelles que d’assistant virtuel.
Les associations régies par la loi de 1901 doivent relever de nombreux défis en matière de gestion et toutes ne peuvent pas fonctionner sur la seule base du volontariat pour répondre aux besoins. L’externalisation administrative leur confère un nouvel élan. En effet, une assistante virtuelle peut intervenir dans plusieurs domaines clés pour optimiser leur fonctionnement, réduire leur charge administrative et leur permettre de se recentrer sur leurs missions principales.
Domaines d’intervention principaux :
- Gestion de la correspondance
- Rédaction de comptes rendus de réunions
- Gestion des adhésions et des cotisations
- Mise à jour de la base de données des membres
- Préparation des AG et des conseils d’administration
- Organisation des événements
- Administration des achats
- Communication et marketing
- Gestion de l’archivage