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4 signaux qu’il est VRAIMENT temps de déléguer (spoiler : votre agenda crie à l’aide)

On raconte que les chefs d’entreprise dorment peu. C’est faux. Ils ne dorment pas du tout : ils comptent des factures au lieu des moutons. Leur rêve préféré ? Une boîte mail vide. Leur cauchemar récurrent ? La relance d’un client qui promet, encore et toujours, de “faire le virement demain”.

Si vous vous reconnaissez, c’est que le moment est venu d’affronter la vérité : vous n’êtes pas un super-héros. Vous êtes un être humain qui a besoin de souffler.

On reconnaît toujours le moment de déléguer à quatre symptômes infaillibles.

Peinture classique représentant des marins luttant contre la tempête près d’un phare, métaphore du dirigeant submergé par l’administratif.

Vous vivez dans un agenda comprimé comme une boîte de sardines

Chaque journée est si comprimée qu’elle semble retenir son souffle. Et ce n’est pas une hallucination :

  • un dirigeant de TPE passerait encore 12 heures par semaine — soit 30 % de son temps — sur la paperasse ;
  • pour les PME, cela grimpe à 142 jours par an consacrés à l’administratif, l’équivalent d’un mi-temps imposé.

Bref, si vous avez l’impression d’étouffer, ce n’est pas une impression : votre agenda est réellement en manque d’air.

Vous perdez patience pour des riens

Classer une facture, répondre à des mails sans intérêt, organiser un rendez-vous… Ce sont de petites tâches qui s’invitent chaque jour comme des irritants. À force, l’agacement devient chronique. Vous soupirez devant vos mails, vous pestez devant vos tableurs, vous grognez devant votre agenda.

Déléguer, c’est éteindre ce bourdonnement incessant, récupérer du temps utile et  un minimum de sérénité.

Vous procrastinez avec talent

“Je ferai la newsletter demain”, “Je mettrai à jour mon tableau de bord la semaine prochaine.” De belles promesses que vous vous racontez comme des mantras. Mais demain a la mauvaise habitude de ne jamais venir.

63 % des dirigeants repousseraient régulièrement leurs actions de communication ou de gestion, faute de temps ou de motivation.

Déléguer, c’est briser ce cercle vicieux.

Vous laissez filer des opportunités commerciales comme de l’eau entre les doigts

Un devis non relancé, un rendez-vous oublié, une absence prolongée sur vos réseaux… Ce ne sont pas de petites erreurs, ce sont des fuites invisibles. Une multitude de petites pertes qui, mises bout à bout, se transforment en gouffre.

La CPME rappelle que le manque de suivi commercial représente chaque année des milliards d’euros envolés pour les PME françaises. Relancer un client, ce n’est pas un détail : c’est souvent la différence entre une trésorerie qui respire et un BFR qui craque.

La révélation finale

Déléguer n’est pas un aveu d’échec.

Comme le rappelait Peter Drucker :
« Ne me dites pas à quel point vous êtes occupé. Dites-moi à qui vous avez délégué. »

Déléguer c’est accepter que l’on ne peut pas tout faire, qu’il faut choisir ses batailles.

Un dirigeant n’est pas fait pour se noyer dans les détails, mais pour tenir la barre.

Et quand vous déciderez de lâcher les seaux pour écoper, Optim Office sera à votre service, les manches déjà retroussées, prêt à embarquer avec vous, cap sur des eaux plus calme.

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