20 % à 30 % de croissance chaque année depuis 4 ans. Sur le papier, c’est une réussite. Dans la réalité, c’est aussi un quotidien éreintant, poncuté de tâches multiples à réaliser, de rendez-vous à honorer… et d’un cerveau qui commence à surchauffer.
Voici le témoignage (et les réflexions) d’un coach indépendant en pleine ascension, mais confronté à une limite bien réelle : celle du temps et de l’énergie humaine.
Une croissance exponentielle… et une charge mentale qui suit
C’est une belle histoire : une activité qui grandit année après année, grâce à la qualité du service, au bouche-à-oreille, et à une clientèle fidèle. Mais cette réussite a un coût.
« Je gère tout, tout seul : le site web, le marketing, le commercial, les emails, la facturation, les appels… tout. »
Comme beaucoup d’indépendants, ce coach, installé dans le 20e arrondissement de Paris, cumule les casquettes, malgré un épuisement latent. Il évoque ses oublis, les tâches qui passent à la trappe et le manque cruel de temps pour ce qui compte vraiment : le cœur de son métier, et sa qualité de vie.
Multitâche = Performance… ou piège invisible ?
Il suffit de lire entre les lignes :
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« Je ne réponds pas à tous les appels »
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« Je n’ai pas le temps de relancer les prospects et passe probablement devant des opportunités d’affaire »
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« J’aimerais pouvoir mieux organiser mon planning, mais ça demande de recontacter chaque client. »
Ce ne sont pas des négligences, mais les conséquences d’un système où chaque minute est absorbée par des micro-tâches qui, mises bout à bout, empêchent toute prise de hauteur.
À force de tout faire, on s’épuise
La fatigue est palpable. Et derrière elle, une double tension :
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l’envie de continuer à faire grandir l’activité ;
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le besoin urgent de retrouver un équilibre de vie.
« Je me sens vraiment privé, et j’ai du mal à déléguer une partie de mon entreprise. Mais je vois bien que je ne peux pas continuer comme ça. »
Ce tiraillement est fréquent chez les indépendants qui veulent garder le contrôle, protéger la qualité… mais aussi survivre au quotidien. Et lâcher prise est d’autant plus difficile quand on a tout construit soi-même
Premier pas vers la délégation : une petite victoire
Un déclic récent : la délégation du traitement des factures vente.
« Ça m’a libéré quelques heures par semaine. Et honnêtement, ça change tout. »
C’est peu mais c’est un changement symbolique. Une première brèche dans le mythe du « je dois tout faire moi-même ».
Déléguer : un outil de croissance… ou de survieurvie
Derrière cette hésitation, une question essentielle : que déléguer en priorité pour retrouver de l’espace mental et soutenir la croissance ?
Les réponses sont souvent les mêmes :
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secrétariat / gestion administrative
- administration des ventes et des achats
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communication / marketing / présence digitale
- filtrage des appels
Ce sont des tâches essentielles mais chronophages, souvent faites tard le soir ou repoussées sans cesse — alors qu’elles peuvent être externalisées à des professionnels de confiance.
Se faire aider, sans se déposséder
Ce coach, comme tant d’autres, cherche à mieux piloter son entreprise. Et parfois, cela commence simplement par une conversation avec quelqu’un dont c’est le métier.
Vous reconnaissez-vous dans ce témoignage ?
C’est précisément dans ce type de situation que nous intervenons
Nous accompagnons les entreprises axées sur la croissance en leur proposant des services d’assistance virtuelle dans les domaines suivants : administratif, commercial et digital.
Nous intervenons sur les enjeux suivants :
- rationaliser vos processus
- alléger votre administratif
- conquérir de nouveaux clients
- gagner en visbilité en ligne.
Externaliser, ce n’est pas perdre le contrôle — c’est reprendre le pouvoir sur le pilotage de son activité.
Contactez-nous pour en discuter et identifier ensemble les premières tâches que vous pourriez déléguer.
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